Cette année, pour la Saint-Valentin, pas de nouvelle sélection de chefs d’oeuvre de l’art coquin. A défaut, j’ai compilé dans une courte vidéo les meilleurs pièces des oeuvres précédentes. Je les assemblées pour raconter une brève histoire d’amour, en accéléré, des premières manoeuvres de séduction à l’extase.
Les photos de ces oeuvres d’art, subtilement érotiques (et parfois moins subtiles) ont été glanées dans différents musées européens au cours de mes voyages, sur une période d’environ 10 ans. On y retrouve différents types d’images : involontairement coquines, oeuvres à double sens, nus plus ou moins sensuels, images érotiques, scènes d’amour…
Le premier épisode rassemblait des oeuvres découvertes dans les régions de Rimini et de Lille. J’ai ajouté cette scène lumineuse et romantique, pleine de sensualité, vue au musée La Piscine, à Roubaix. Je l’avais écarté de la sélection initiale, mais elle s’intégrait bien à la vidéo.

Le deuxième épisode était entièrement consacré à la collection d’art érotique (ou considéré comme tel) romain trouvé à Pompéi et Herculanum, exposé dans le fameux Cabinet secret du musée archéologique de Naples.
Le troisième épisode nous faisait traverser l’Europe, de Naples (avec des oeuvres hors du cabinet secret) à Bratislava.
Dans le quatrième épisode, on s’arrêtait à Paris, au musée du Louvre, et en particulier dans la galerie des sculptures monumentales.

Dans a vidéo, J’ai complété la sélection avec ces deux oeuvres, vues à cette exposition de sculptures hyperréalistes, à Liège. Elles s’inséraient parfaitement dans le thème et le récit.

Le coquin est parfois dans l’oeil de celui qui regarde. Le point de vue et le changement de contexte peuvent parfois changer le sens des oeuvres. Ces séries de photos nous rappellent aussi que les musées peuvent être de jolis terrains de jeu pour les photographies, avec des surprises, des découvertes insolites et des oeuvres parfois très vieilles qui se révèlent pleines de vie.
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