
Ils quittent la cellule de leur ville prison. Pour une autre cellule, dans un hôtel qui ressemble a un camp de prisonniers.
De hautes clôtures, une cour dont ils ne veulent pas sortir. Trop dangereux. Trop mystérieux. Trop étranger.
S’ils sortent, c’est pour aller à la plage, placée sous haute-sécurité. Ou dans un de ces supermarchés, balisés, clonés.
Ils restent là, dans leur clapier. Ils végètent de la chambre au transat, du transat à la chambre. Les plus courageux tremperont un orteil dans la piscine, mais pas trop longtemps (trop fatiguant !)
Vive les vacances !
(+)
Belle géométrie. Ca fait un peu penser à un Vasarely.
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Molto vero…Da una prigione ad un’altra. Complimenti
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Ce doit être horrible comme lieu de vacances… ça ressemble beaucoup à un clapier, ou ces poulaillers industriels.
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A reblogué ceci sur JOURNAL LE COMMUN'ART.
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