C’est un lundi. Il fait moche. Il fait gris. Il pleut.
Et puis, on annonce la mort de David Bowie.
Oubliée la pluie. Oubliée le temps dehors. C’est à l’intérieur qu’il fait soudain terriblement froid.
Penser à Bowie. Toutes ces images qui affluent. Ces yeux uniques. Ce regard. Cette silhouette caméléon qui se glisse dans une infinité de personnages et de looks, du plus extravagant au plus sobre.
Les chansons remontent à la surface de la mémoire. « Space Oddity« . « Heroes« . « Life On Mars« . « This Is Not America« . Toujours différentes. Toujours fascinantes.
L’artiste a tiré sa révérence. Trop tôt. Mais son oeuvre est immortelle.
David est avec Major Tom. Mais Ground Control n’a pas fini d’entendre sa voix chanter…
I shall miss him
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C’est … (amusant), j’aivais justement ground control en tête avant d’ouvrir ton article …
Comme toi j’ai plusieurs titres, under pressure, life on mars, ground control, modern love …
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J’ai ressenti exactement la même chose que toi, en allumant la télé entre deux averses de grêle. J’étais en train de me dire en regardant le ciel « tiens, il fait froid ». Et après cette nouvelle, j’ai ressenti : « Brrr, ça caille ! »
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