
Il y a 100 ans, presque jour pour jour, débutait la Première Guerre mondiale. Ce conflit meurtrier (plus de 20 millions de morts) a accouché d’une Europe profondément transformée et d’une paix fragile et provisoire. Les conflits armés se sont succédés.
Aujourd’hui, les fantômes de cette guerre reviennent sous les feux (nourris) de l’actualité et des commémorations, dans un monde qui n’est pas en paix. Ukraine. Syrie. Libye. Gaza. Irak. La liste est trop longue et non exhaustive.
Alors, s’il faut invoquer le souvenir de tous ces soldats morts, pourvu que ce ne soit pas en pure perte. S’ils reviennent hanter le présent, que ce soit pour tirer la leçon des erreurs passées et préparer un futur sans guerre(s).
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Bonjour Gildéric
Tu rejoins une obsession constante chez moi, celle de la supérmatie qu’on accorde aux morts davantage qu’aux viva,ts; je n’aime pas ces commérations qui ancrent la guerre comme inévitable et incontournable. Ne pas oublier , cela devrait plutôt dire ne pas recommencer…
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Comme je l’écrit dans l’article, d’accord pour les commémorations si les morts reviennent pour enseigner aux vivants… Et non pour faire du fric.
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Nos souvenirs devraient plutôt être avec les victimes innocentes de ces guerres. Les enfants surtout…
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Pour moi, les fantômes dont je fais allusion dans l’article, c’est autant les soldats que les victimes civiles de toutes ces guerres passées et (hélas) à venir…
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