
C’est encore le blocage au TEC. En grève, une fois encore. Et l’usager reste sur la grêve. Privé de transport en commun.
C’est devenu si commun. Trop commun. Service public en toc. Sans public.

N’attendez pas à l’abribus. Les bus ne passeront pas. Les bus ne sortiront pas. Blocage. Barrage.
Une surprise ? Pas tant que ça. Plutôt une habitude. Une nouvelle norme.
Plus souvent en grève qu’en service…

On nous suggère de prendre les transports en commun. « C’est meilleur pour la planète. C’est meilleur pour votre santé. »
Encore faut-il que le bus passe. Encore faut-il qu’il soit à l’heure.

Le droit de grève existe. Il faut le respecter. Pas le violer. Ni en abuser.
Drôle de façon de punir ses clients. De leur remercier de leur patience. De leur fidélité.

Mais connaissent-ils encore le sens du mot client, ces « récidigrévistes » ?
Monsieur le ministre ne prend pas les transports en commun. Sinon l’avion, en « business class », et peut être la navette VIP.
C’est celui qui n’a pas d’autres moyens de voyager qu’ils punissent. Les étudiants. Les retraités. Les petits revenus.
Et les idéalistes qui ont renoncé à la voiture.

et oui, ns voilà UNE FOIS DE PLUS sans bus!!ca devient insupportable!!la tec, ca ns rapproche!!c leur slogan!!tu parles!!
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Meme souci avec la stib sur Bruxelles aujourd’hui…
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TEC et STIB, même coma… euh combat !
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yesss!
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