Ouvrons le 7e volet du Calendrier de l’Avent.
Je me lève dans la nuit. Je pars dans l’obscurité. Je reviens au soir tombé. Je ne vois jamais le jour ou presque. Les jours sont si courts et si froid que la nuit semble éternelle.
Dans le matin glacé et mouillé, les silhouettes se pressent, comme des fantômes hagards, perdus sous les lumières de Noël.
Le soir, quelques retardataires errent encore dans les rues désertées. L’ambiance est étrange. Sombre et lumineuse, sereine et mystérieuse à la fois.

Et le lendemain, le cycle reprend, inlassablement…
Rahala à cette période on a l’impression qu’il y a un couvre-feu, horrible ! Je vais finir par connaître par cœur le pavés dans ce secteur ! 🙂
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Oui, ça manque un peu de variété dans les décors.
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