
Ce matin-là, il est encore tôt. A peine 7 heures. Mais la gare de Liège-Guillemins est déjà bien réveillée. Comme une ruche futuriste, elle bourdonne d’énergie. Des gens descendent du train pour aller bosser. Des gens vont prendre le train pour aussi aller bosser. Une frénésie que ni le froid ni la nuit ni la pluie ne peuvent réfréner.
En attendant mon bus, je regarde ces silhouettes aller et venir, s’activer, se hâter. Ce sont autant de personnages d’un film intérieur que m’inspire le décor cinématographique de la gare.
Le capteur de mon appareil les fige à jamais. Et malgré cette immobilité définitive, dans mon imagination et ma mémoire, ces personnages n’arrêtent pas de bouger, de vivre, de respirer.
N’est-ce pas le miracle de la photographie ?
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j’aime bien le parapluie de Calatrava parce qu’elle, la photo, contraste gentiment avec la démonstration de géométrie tout de même un peu insistante du même Calatrava ! Bravo, Gilderic !
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Merci !
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Super idée !
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Il y a de jolies photos, des bien graphiques comme j’aime, comme par exemple « le parapluie de Calatrava », « Rhapsody in blue » et « FGV » ! Bravo ! Toutes les occasions sont bonnes pour faire des photos, encore une fois, la preuve ! 🙂
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