Êtes-vous atteint de « paraskevidékatriaphobie » ?
Alors vous avez la phobie des vendredis 13, qui sont pour vous des jours de malheur.
Pour d’autres superstitieux, ces mêmes vendredis 13 sont synonymes de jours de chance. Des jours où il faut absolument jouer au Lotto ou acheter un billet de loterie.
Images à double sens
Afin d’illustrer cette dualité, j’ai choisi parmi mes photos quelques images à double sens. Selon la loi du verre à moitié plein (ou à moitié vide), elles peuvent être interprétées de manière négative ou positive.
Le tunnel
On peut se focaliser sur les graffitis ou l’aspect glauque et sombre du tunnel. Ou en revanche savourer la belle lumière dorée. Le passage dans un tunnel peut se révéler une expérience angoissante. Mais il y a toujours une lumière au bout…
Dans le brouillard
Le brouillard. Inquiétant ou esthétique ? Quelle condition météo est plus ambigüe que le brouillard ? Angoissant pour les automobilistes, il peut provoquer des accidents. Mais pour les photographes et les poètes, le brouillard est une bénédiction. Source de mystère, il estompe les frontières de la réalité. Il dissimule des détails, favorise les hallucinations.
Vers le ciel
De tous temps les hommes se sont tournés vers le ciel, pour obtenir des réponses. Ils ont cru parfois en recevoir, mais souvent le ciel est resté sourds à leurs questions.
Comme le brouillard, le ciel est une source de fascination pour les artistes et les photographes. Toujours changeant, toujours différent. Sereinement bleu, nuageux ou tourmenté, c’est un objet de fascination infini.
Crépuscules
Qu’y a-t-il de plus ambigu qu’un coucher de soleil ? C’est à la fois la fin du jour et le commencement de la nuit. C’est un moment d’une beauté bouleversante où les couleurs explosent. C’est aussi un instant terrifiant où les ombres et l’obscurité grignotent la lumière.
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