L’article précédent posait la question : Faut-il choisir le froid ou la neige (pour les photos) ?. La dernière semaine de février 2018 a répondu à ce dilemme : en Belgique, nous avons eu d’abord le grand froid, en début de semaine, puis une tempête de neige à Liège, en fin de semaine, en guise d’apothéose.
Il neige sur Liège
Le vendredi 2 mars, la neige a commencé à tomber en milieu d’après-midi, alors que je rentrais chez moi, après le travail. Je regardais la cité ardente blanchir par la fenêtre du bus qui traversait le centre de Liège en direction des hauteurs de la ville.
Promenade sous la neige
Pendant la promenade du chien, dans les bois autour du Fort de la Chartreuse, près de chez moi, je me suis régalé à regarder la neige tomber et blanchir le sol d’une fine pellicule blanche. Le plaisir était communicatif chez les rares promeneurs que j’ai croisés.
Des pas dans la neige
Sur le court chemin entre le bois et la maison, j’ai profité d’un abribus pour prendre quelques photos des pas dans la neige et de l’avenue de Péville enneigée.
Note : il aurait fallu voir le photographe tenir son chien en laisse d’une main et son appareil de l’autre, tout en se contorsionnant pour trouver un angle original.
Tempête de neige
La situation s’est gâtée peu après, quand il a fallu songer à descendre au centre ville de Liège pour rejoindre les amis avec lesquels nous avions rendez-vous. La neige tombait à un rythme soutenu à présent et la fine pellicule était devenue une belle couche. Dans l’avenue qui relie notre maison au centre ville, les bus ne roulaient déjà plus.
Il a donc fallu descendre l’avenue à pied, dans la neige fraîche et crissante, rejoindre l’arrêt de la Bonne Femme, au pied de la côte, et attendre qu’un bus arrive. La circulation était chaotique. Des lignes de bus étaient déviées. D’autres bus étaient à l’arrêt. Les voitures roulaient au pas et les conducteurs étaient nerveux (car ils n’ont vraiment pas l’habitude de conduire dans de telles conditions).
Mes deux filles étaient nerveuses, elles aussi. Elles avaient froid et étaient stressées par la pagaille en rue. Pour tromper l’attente, j’ai commencé à filmer, avec mon iPhone. La neige tombait de façon trop soutenue pour sortir mon appareil photo.
Après un quart d’heure, un bus est enfin arrivé dans le centre de Liège. J’ai continué à filmer pendant le trajet en bus, puis après quand nous terminions le parcours à pied.
Liège dans la tempête
C’était la pagaille en ville, mais le spectacle du centre de Liège sous la neige était tellement beau que j’aurais bien ralenti le rythme pour filmer et photographier la tempête d’avantage. Mais les filles étaient pressées d’arriver, nos amis nous attendaient et mon téléphone est tombé en panne de batterie peu avant l’arrivée.
Les Princes-Évêques sous la neige
J’ai juste pu prendre quelques dernières images du Palais des Princes-Evêques dans la tempête de neige avec mon appareil photo avant qu’il soit trop mouillé et que nous soyons trop en retard.
Voici donc le petit film de ce périple sous la neige à Liège, monté comme un reportage un peu sensationnaliste. Il mélange les images filmées avec mon iPhone et le LX100.
Bon, le terme « tempête » est peut-être exagéré (surtout pour mes amis canadiens et slovaques), mais pour les Belges, nous ne sommes pas loin de la vérité.
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Le parc des Oblats est l’endroit où j’allais jouer du qigong quand j’étais à Liège. Il se peut bien que nous nous y soyons croisés ! Bonne soirée, Gilderic.
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C’est possible en effet. Quand y étais-tu ?
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Grosso modo tout le mois de mai. J’avais l’habitude de pratiquer sur la dalle en béton … à n’importe quelle heure ! Une belle journée à toi.
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On aurait pu se croiser en effet. Une prochaine fois peut-être…
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aeolus est parti de Liège et la probabilité que je doive y retourner pour une longue durée est très faible … la retraite va me rattraper avant !
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On ne sait jamais… Bonne journée !
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J’espère que Nonna, la maman de Chinette, n’est pas congelée, quartier de l’ONU!
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Quartier de l’ONU ? Le grand froid et la neige, c’est fini. On va vers le printemps, mais sous la pluie…
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Pour le quartier dit de l’ONU, renseignez-vous! Le père de Chinette était directeur de l’école primaire communale de Montegnée…Bon, ça date! (beaucoup d’italiens s’y étaient installés, la majeure partie travaillant dans les mines).
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Je connais assez bien Montegnée. J’habitais pas très loin, à Glain, et j’ai été à l’école primaire à Ans. Et encore maintenant, je traverse une partie de Montegnée pour aller travailler à Grâce-Hollogne.
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Reportage très sympa sur la ville enneigée… 🙂
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Merci !
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Ah oui la tempête est un concept variable selon les personnes ! 😀 De très belles photos !
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Merci ! 🙂
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