Le « King of Pop » s’en est allé. Chanter dans les étoiles. Danser près de la Lune.
Les Pop Stars ne sont pas éternelles. Un jour, trop tôt parfois, elles emportent leurs scandales et leurs placards chargés de cadavres et de secrets.
Michael Jackson est parti trop tôt. Coupable ou innocent, célèbre ou inconnu, c’est trop tôt de mourir à 50 ans. Victime ou salaud ? Sans doute ne saura-t-on jamais le fin mot de l’histoire ?
Pour tous les fans, Michael n’est pas mort. Comme Marilyn, James Dean ou Elvis. Sa disparition scelle le mythe. Sa musique résonne partout. Mort-vivant has-been, au bord d’un hasardeux comeback, il est redevenu la star qu’il était il y a bien longtemps. La maison de disque se frotte les mains. Touts ses fonds de tiroir à déterrer. Ces inédits à exploiter. Ces albums à rééditer. Ils en ont pour des années…
Et demain des livres à écrire, des théories du complot à répandre, des légendes à forger…
Je n’étais pas fan. J’aimais bien quelques chansons, ici et là. L’album « Thriller » surtout. Avant que l’artiste ne suive la voie de la surenchère, dans des disques de plus en plus mégalos, de moins en moins bons.
J’ai mis longtemps à terminer cette illustration.Elle est restée des mois à l’état de « work in progress », avant que je trouve le bon angle pour l’achever. Il y a tant d’hommages déjà qui circulent sur le web. Je la voulais à la fois comme un hommage au performer et à son moonwalk et comme un hommage à la puissance d’évocation de la musique. Cette magie qui ,l’espace d’une chanson ou d’un album, vous fait oublier les soucis du quotidien, vous fait voyager, bouger ou, comme la madeleine de Proust, vous fait remonter le temps…
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> iCons
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